_French version below_

Manu le Malin has always been a fierce defender of a certain type of hardcore music: uncompromising, dark, industrial sounds that are obviously a catharsis for everyone who dances, screams or nightmares to it, but also a way to howl what freedom is to the world.

From advocating for the rave scene to making it a point of honour to mostly play new releases in his sets, often created by young producers, he’s always cared about how avant-garde and inclusive this scene could – and should – be.

Building a home for these artists and values was the natural next step. Manu has been receiving tracks from unknown and immensely talented artists for years, fueling his DJ-sets and keeping him excited about his scene. So Gildas Rioualen, Astropolis’ boss, whispered to his ear: why won’t you create a label to shine a light on these people?

Twenty-seven years after Bloc46, his first imprint, this platform finally takes shape: MKNK – pronounced “mechanic” – will be the home of modern, challenging and open-minded hardcore techno music.

This time, the lone wolf has decided to work with an entire pack: the Astropolis family who will be the powerhouse behind the project, the man, the myth, the legend Gareth de Wijk (aka DJ Thrasher, head of PRSPCT Recordings) as consigliere mastermind, Triple Vision as distribution experts, Astropolis’ crew visual artist Daff for the biomechanic-inspired label logo, and two close friends – Aina Semiglia who built the website, and Shad Bharucha who created MKNK’s visual identity and will design the entirety of its cover artworks.

The adventure will start with a double release thought as a gift for the many people who have been supporting Manu for the past thirty years. Dernière Danse Part I & II features iconic and sought-after tracks from Manu le Malin, less-known gems, an unreleased and a remix from Vitalic, all remastered by Scan X and Deathmachine.

Then MKNK will start its mission: being the loud and unapologetic megaphone of a diverse, exciting, hardworking new generation of hardcore artists and old friends whose heart is in the right place – on a dark and untamed dancefloor.

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Manu le Malin a toujours été un fervent défenseur d’un certain type de musique hardcore : des sons industriels, sombres et sans compromis. Ils sont évidemment une catharsis pour tous ceux qui dansent, crient ou cauchemardent dessus, mais aussi une façon pour lui de hurler à la face du monde ce qu’est la liberté.

Soutenant la scène rave et mettant un point d’honneur à majoritairement jouer des nouveautés, souvent créées par de jeunes producteurs, dans ses sets, il est depuis toujours attaché à l’avant-gardisme et à l’ouverture d’esprit que cette scène peut – et doit – déployer.

La prochaine étape était une évidence : réunir ces artistes et ces valeurs au sein d’une même maison. Depuis des années, Manu reçoit en effet des morceaux d’artistes inconnus et immensément talentueux, des coups de cœur qui alimentent ses DJ-sets. Gildas Rioualen, le patron d’Astropolis, lui a alors soufflé : pourquoi ne pas monter un label pour les mettre en lumière ?

En mai 2025, vingt-sept ans après son premier label Bloc46, c’est enfin chose faite : MKNK – prononcé « Mékanik » – reflètera sa vision d’un hardcore moderne et aventureux, avec toujours l’envie de sortir des sentiers battus.

Une fois n’est coutume, ce loup solitaire a décidé de s’entourer de toute une meute : sa famille d’Astropolis, la force motrice du label lui permettant de se concentrer sur l’artistique, mais aussi Gareth de Wijk (aka DJ Thrasher, patron de PRSPCT Recordings) comme consigliere de toujours, Triple Vision à la distribution, l’artiste visuel Daff ayant réalisé le logo du label, Aina Semiglia pour la construction du site web, et enfin Shad Bharucha, qui façonne l’identité visuelle de la maison et créera l’entièreté des pochettes.

L’aventure commencera par une double sortie pensée comme un cadeau pour les nombreuses personnes qui ont soutenu Manu au cours des trente dernières années. Dernière Danse Part I & II regroupe des titres emblématiques et recherchés, des coups de cœur méconnus, un inédit et un remix de Vitalic, le tout remasterisé par Scan X et Deathmachine. Rendez-vous les 16 mai et 13 juin en vinyle et digital.

Puis, MKNK entamera sa mission : devenir le porte-voix tonitruant et sans concession de cette nouvelle génération hétéroclite d’artistes hardcore, ou de vieux amis dont le cœur est au bon endroit – sur un dancefloor sombre et indompté.